12 août 2010

Au bord de l'eau, au bout du monde

6 commentaire(s):

Arès a dit…

Le contraste est très bien. Le reflet du ciel combiné à celui du soleil dans l'eau est aussi vraiment sympa. J'aime bien ces quatre peupliers groupés et je ne sais pas pourquoi mais quand je les regarde, mon regard dérive vers les petits joncs en bas à droite.

Et chouette forme créée par les racines (c'en est vraiment ?) et leur reflet, on dirait un serpent géant qui nage). D'ailleurs les branches qui débordent à droite, juste au-dessus du serpent, rajoutent à l'effet (un peu comme les petits arbres asiatiques qu'on taille, comment ça s'appelle déjà...).

Swoo a dit…

Je vois que tu ce cliché à l'air de te plaire particulièrement, tant mieux. :-) Et merci pour tes commentaires.

Je dirais que les peupliers et les joncs sont unis à tes yeux de par leur verticalité, si rare sur l'ensemble de la photo.

Ce ne sont pas des racines mais des rochers disposés là... Je ne sais pas vraiment quelle était leur fonction mais il y en avait plusieurs le long du cours d'eau (le Corrib). J'étais d'ailleurs assis sur l'un d'eux en prenant cette photo. Je pense néanmoins qu'ils font office de "brise-lames d'eau douce", si on peut dire.

Et le mot que tu cherches est bonzaï. ;-)

Arès a dit…

Non non, je ne parle pas des rochers à l'avant mais de ces sortes de racines un peu plus loin.

Swoo a dit…

J'avais bien compris. Ce sont bien des rochers. Plus exactement, c'est un petit muret fait de pierres superposées; on voit d'ailleurs les jours entre les pierres. Ces typiques de ces contrées, ces murets de pierres sans aucun mortier utilisé, même s'ils sont plus connus autour des prairies que le long des cours des d'eau.

Arès a dit…

Vu comme ça... En fait je n'avais pas fait attention quand tu disais qu'il y en avait plusieurs le long de l'eau et donc je ne comprenais pas comment tu pouvais être assis dessus alors qu'ils étaient en plein milieu de l'image.
N'empêche que c'est bluffant. ;-o

Swoo a dit…

J'aurais pourtant bien aimé que ta première lecture fût réalisable et que j'eusse ainsi le don d'ubiquité. :-)

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