ALORS, ALLEZ-Y, OBSERVEZ ! :-)
29 novembre 2011
15 novembre 2011
... et la nuit
J'ai voulu voir ce qu'il se passerait si je prenais la Lune au maximum de mon zoom depuis le sol et en modifiais la couleur en retouchant l'image. Voici la réponse.
Le jour...
Loin d'être parfait sur le plan technique, il s'agit néanmoins de mon premier couché de soleil photographié avec mon nouvel appareil... d'où sa présence ici.
31 octobre 2011
07 octobre 2011
A s'y métrie
Pour les étonnés, intrigués et autres ébahis, il s'agit de l'angle d'une maison quatre façades, pris de face.
06 septembre 2011
21 août 2011
Fine lame et fine tranche pour fin gourmet
Eh oui, c'est à Noël que j'ai reçu mon nouvel appareil photo, c'est donc à Noël que j'ai fait mes premiers essais...
05 août 2011
L'ombre d'un rosier
Voilà, c'était la dernière des photos prises avec mon compact Olympus X-15. Les prochaines photos à être publiées auront été prises avec mon nouvel appareil : un Canon EOS 550D. Pour l'occasion, la taille des photos passera de 640x480 à 1200x800 pixels. J'en connais au moins un qui sera content. :-)
Un peu cloche...
Il s'agit du clocher de l'église du Petit-Ry, petit village en périphérie d'Ottignies (Belgique). Une plaque à l'entrée indique que cette église est une réplique inspirée de la chapelle du Saint Sacrement qui était accolée au Pavillon pontifical de l'Expo 58. La bonne excuse...
30 juillet 2011
Fumée et vapeur d'eau
Photo prise un matin d'hiver. Je passais devant cette maison quand la cheminée s'est mise en marche. Mais, le soleil du matin étant relativement bas en hiver, il avait juste la bonne hauteur pour éclairer de ses rayons la fumée, qui prit alors une teinte doucement orangée.
Multillumination
Il s'agit du reflet de mon hall d'entrée (de son plafonnier principalement, mais aussi du porte-manteau et d'un bout de porte) sur l'une de ses petites fenêtres qui donne sur un arbre et un lampadaire de ma rue.
14 juillet 2011
Courageux petit pot de peinture verte
Cette photo a été prise dans une ancienne salle de classe d'une école primaire désaffectée. Le papier peint se décollait par petites plaques des murs couleur pêche, tandis que la peinture bleu clair s'écaillait lentement sur les chambranles de la porte gisant au sol, visiblement mortellement atteinte. Alors que, sous les pieds, un tapis irrégulier d'ordures de nature et d'ancienneté diverses jonchait le sol.
Le tableau noir (en réalité vert foncé) arborait malgré lui quelques lettres tracées à la craie et formant des mots que le professeur se serait empressé d'effacer, s'il avait été là. Dans un coin du tableau semblait traîner, à moitié effacée, la date du jour, ultime témoin du drame, comme les aiguilles d'une montre cassée sous le choc d'un crime de mauvais feuilleton policier.
Dans ce lieu empreint de chaos, une commode de bois au tiroir du haut ouvert réussissait pourtant presque à donner le change. En y regardant de plus près, on pouvait voir que, en équilibre instable sur le bord de ce tiroir, s'aventurait au dehors un pot de peinture verte, sous le regard inquiet de son petit frère, un pot de confiture à l'abricot resté timidement en retrait.
Je fus témoin de la sortie courageuse de ce pot et je ne pus m'empêcher de le comparer à cet humain qui, le premier, sortira de son abri nucléaire après la prochaine guerre atomique (le plus tard possible, je l'espère) pour constater les dégâts...
Nous restâmes là un moment, lui et moi, avec le sentiment confus d'avoir échappé à un désastre et la pensée coupable de ne pas l'avoir mérité plus que les autres. Aussi, par respect pour les victimes, je quittai ce sanctuaire, sitôt mes esprits retrouvés.
Le tableau noir (en réalité vert foncé) arborait malgré lui quelques lettres tracées à la craie et formant des mots que le professeur se serait empressé d'effacer, s'il avait été là. Dans un coin du tableau semblait traîner, à moitié effacée, la date du jour, ultime témoin du drame, comme les aiguilles d'une montre cassée sous le choc d'un crime de mauvais feuilleton policier.
Dans ce lieu empreint de chaos, une commode de bois au tiroir du haut ouvert réussissait pourtant presque à donner le change. En y regardant de plus près, on pouvait voir que, en équilibre instable sur le bord de ce tiroir, s'aventurait au dehors un pot de peinture verte, sous le regard inquiet de son petit frère, un pot de confiture à l'abricot resté timidement en retrait.
Je fus témoin de la sortie courageuse de ce pot et je ne pus m'empêcher de le comparer à cet humain qui, le premier, sortira de son abri nucléaire après la prochaine guerre atomique (le plus tard possible, je l'espère) pour constater les dégâts...
Nous restâmes là un moment, lui et moi, avec le sentiment confus d'avoir échappé à un désastre et la pensée coupable de ne pas l'avoir mérité plus que les autres. Aussi, par respect pour les victimes, je quittai ce sanctuaire, sitôt mes esprits retrouvés.
02 juillet 2011
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